• Pour des raisons personnelles et familiales (aller assister ma vieille maman de 98 ans dans une maison sans internet), je devrai arrêter d’écrire dans le blog pour quelques temps. Mais vous avez des centaines d’articles toujours à votre disposition, si vous cliquez sur les différentes rubriques, dans les archives, sur les « tags » ou en introduisant un mot dans « Recherche » : ce sera une occasion de continuer à penser les uns aux autres. Personne ne nous empêchera de distribuer sans relâche la paix, l’espoir ou l’optimisme dans notre monde fatigué et assoiffé. A bientôt, j’espère ! 


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  • Pour ceux qui n’ont pas réussi à suivre ce mois encore assez intense, voici les titres de février. Nous avons commencé, dans la rubrique « Désorientés » par deux articles du 1er et 3 février comme commentaires au fameux « plan de paix » du président américain : « Vous êtes un homme, Mr Trump ? » et « Crime contre l’humanité ».

    Le 5 février, j’ai écrit « Faits pour l’infini » dans « Reflets du paradis ». Le 11, « Ce blog qui a changé ma vie » dans « Accueil » : une manière de remercier tous mes lecteurs pour cette belle aventure ensemble qui dure déjà depuis 5 ans. Le 13, c’était « Pauvre conscience » dans « Au bout de soi-même » et le 15 du mois « Guérir » dans « Au cœur du verbe ».

    Les 7, 9 et 17 février, la reprise d’ancien articles sur l’Evangile de Marc pour nous préparer à aborder le chapitre 15 de Matthieu : « De Marc à Matthieu 15 (1 – 2 – 3) », dans « Perles de la Parole ». Puis le 19, l’introduction elle-même à « Matthieu 15 », suivie de trois « Perles de la Parole » les 21, 25 et 27 février : « Eviter les conflits inutiles », « Se laisser planter par Dieu » et « Un Dieu qui nous obéit ».

    Et enfin, le 23 février, dans « Désorientés » : « La panique du coronavirus ».

    Bonne lecture, ou relecture à tous !


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  • Vous allez encore dire que j’exagère, mais c’est vrai. Notre blog a changé ma vie. Hier j’ai fêté les 5 ans de « L’Orient la Nuit ». Je ne sais pas à quel âge un blog devient mûr, mais ce qui est sûr, c’est que cette aventure m’a énormément fait mûrir moi-même. Quand un ami m’a dit, il y a bientôt six ans : « Pourquoi tu ne lancerais pas un blog ? Tu aurais beaucoup de choses à dire qui pourraient faire du bien à des gens… » Et moi, je ne savais même pas exactement ce qu’est un blog et encore moins comment on peut faire pour en créer un nouveau de toutes pièces.

    J’ai donc réfléchi, j’ai laissé grandir en moi tous les élans de mon esprit et de mon cœur. J’ai passé des mois à écouter plus en profondeur ce qui occupait ou préoccupait les personnes autour de moi. Puis je me suis lancé dans ce blog que j’ai voulu dès le départ comme un pont entre cet occident qui m’a fait naître et ce Moyen Orient qui m’a tant donné.

    Un peu timide au départ, comme pour voir si cela en valait la peine, j’ai été étonné par les réactions et les encouragements. Beaucoup d’amis me remercient maintenant chaque jour pour ce que j’écris, mais surtout, je sens que ce que je publie n’est plus seulement à moi, c’est le fruit d’un dialogue de chaque jour qui vient de cet accueil de l’autre qui fait l’âme de ce blog…

    Mais ce qui m’émerveille le plus aujourd’hui, ce n’est pas tant que le nombre des lecteurs a un peu augmenté au fil des jours (environ 150 lecteurs par article, si l’on compte ceux qui me suivent aussi sur Facebook et twitter, ce qui au fond est comme une goutte dans l’océan de l’humanité), mais c’est que toute cette aventure m’a obligé à sortir de moi-même. Je me lève désormais chaque matin en pensant d’abord aux autres qui m’attendent, à ces amis qui souffrent et que je pourrais aider, à tous ces gens autour de moi qui ont perdu l’espoir, et je vois qu’à force de distribuer de l’optimisme en tous les sens, j’ai trouvé encore plus de bonheur à partager.

    Alors merci à tous d’être là, merci de croire à toutes ces valeurs qui peuvent encore sauver notre humanité malade, merci pour vos critiques constructives, merci de partager à votre tour ce courant de positif autour de vous. Notre humanité sera toujours plus belle si nous nous laissons transporter par cet élan d’amour timide au fond de nous, mais qui devient un torrent impétueux et bienfaisant quand nous le multipliant en le partageant chaque jour un peu plus.

    Quelqu’un disait que toute la lumière fragile au fond de nous s’éteint si elle reste cachée au fond de notre cœur, mais grandit et devient de plus en plus claire et évidente si nous la donnons sans cesse à tous ceux que nous côtoyons du matin au soir. En nous souvenant que nous avons-nous-mêmes reçus un jour cette lumière parce que d’autres amis avant nous nous en ont montré le chemin.


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  • Chers fidèles lecteurs, comme chaque mois voici un aperçu rapide des publications de notre blog durant ce premier mois de l’année, au cas où vous n’auriez pas pu tout suivre.

    Le 2 janvier, nous avons commencé par « Bonne année de lumière » dans « Accueil ». Le 4, suivait un article sur « Notre unique valeur » dans « Désorientés ».

    Puis trois articles pour finir les commentaires sur le chapitre 13 de l’Evangile de Matthieu, dans « Perles de la Parole », les 6, 8 et 10 janvier : « Le soleil de Dieu », « Trésor pour toujours » et « Disciples de Dieu ».

    De là, toujours dans « Perles de la Parole », nous sommes passés au chapitre 14 de Matthieu. Le 12 et le 14, deux articles « De Marc à Matthieu 14 » (1 et 2). Puis le 16 janvier l’introduction à « Matthieu 14 », suivie de quatre nouvelles « Perles de la Parole », les 18, 22, 24 et 26 janvier : « La folie de Dieu », « Viens ! », « Hommes de peu de foi ? » et « L’expérience de Dieu ».

    Et enfin, pour changer de registre, « Arrêtez la haine », le 20 janvier, dans « Batailles », et le 28 du mois, dans « Désorientés », « Comme si nous avions peur du positif ».

    De quoi méditer et dialoguer longuement. Bonne lecture à tous !


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  • En recevant ces jours-ci tous ces vœux de paix et de bonheur pour l’année qui vient, je me suis demandé par moments si nous ne sommes pas complètement inconscients. Avec le risque que, plus on fait grandir l’espoir, plus le désespoir sera grand si cet espoir est déçu…

    Mais tout cela ce sont des considérations finalement un peu superficielles, quand on ne s’est pas bien réveillé le matin et qu’on se laisse prendre par des pensées qui nous viennent n’importe comment, au hasard de l’humeur du moment.

    Je crois que le plus beau souhait que nous pouvons nous faire, réciproquement, c’est justement de ne pas nous laisser prendre cette année par l’humeur du moment. Un peu de soleil et tout va bien. La pluie revient et nous sommes déjà tristes. La tempête gronde et c’est la catastrophe universelle…

    Nous devons nous souhaiter, cette année, d’avoir le courage de rester branchés sur l’essentiel. Et l’essentiel c’est cette lumière qui est en nous, en chacun de nous, au plus profond de notre cœur. Cette lumière capable de trouver parfois des solutions inimaginables aux problèmes apparemment les plus insolubles. Cette lumière qui redonne un sens à tous les imprévus de la vie. Qui nous donne la force de marcher dans un tunnel et de trouver la sortie. Qui nous invite à illuminer les gens qui sont encore plus perdus que nous. Qui sait trouver les mots pleins de chaleur pour consoler ceux qui souffrent. Ou qui simplement s’arrête au milieu des ténèbres pour dire qu’elle est là, à la surprise générale de tous ceux qui ne l’avaient pas vue.

    Ce qui est sûr, c’est que ce n’est pas nous qui avons inventé la lumière. La lumière ne dépend pas de nous ou de notre vision des choses d’aujourd’hui ou de demain. La lumière était là bien avant nous et elle sera toujours là bien après nous. Elle existe et c’est tout. A nous seulement de la dénicher, de la faire passer, d’enlever les rideaux plus ou moins épais qui nous empêchent de la voir et de la faire briller.

    Et puis une simple constatation, que l’on peut remarquer dans les tableaux merveilleux de certains grands peintres : les ténèbres n’empêchent pas la lumière de rayonner, on dirait plutôt qu’elles la mettent encore plus en valeur. Comme un arc en ciel est encore plus beau au milieu de la tempête, ou un paysage plus limpide après la pluie, les ténèbres nous font parfois goûter la lumière qui vient avec une émotion tellement plus forte…

    Alors souhaitons-nous simplement de rester branchés cette année chaque jour sur la lumière, quoi qu’il arrive. Et de restés unis pour cela avec tous ceux qui sont encore allumés, pour avoir le courage tous ensemble d’aller redonner la vie à ceux qui semblent s’être éteints en route. Et tant que le soleil brille encore, tant qu’il y a quelque part un feu, une lampe, une simple bougie allumée, tout peut repartir de plus belle, car la lumière est ce qui se propage sans doute le plus rapidement et sans trop d’efforts. Laissons-nous faire ainsi par la lumière, sans nous agiter, ce sera mieux pour nous et pour les autres. L’humanité a encore de beaux jours devant elle…


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